Mon avis sur Passengers : 09/20
11/1/2017
Alors que 5000 passagers endormis pour longtemps voyagent dans l’espace vers une nouvelle planète, deux d’entre eux sont accidentellement tirés de leur sommeil artificiel 90 ans trop tôt. Jim et Aurora doivent désormais accepter l’idée de passer le reste de leur existence à bord du vaisseau spatial. Alors qu’ils éprouvent peu à peu une indéniable attirance, ils découvrent que le vaisseau court un grave danger. La vie des milliers de passagers endormis est entre leurs mains… Une critique qui sera courte voir peut être vide pour certains car il n’y a pas grand-chose à dire. De là à dire que le film est aussi vide que l’espace il n’y a qu’un pas. La première partie du film semble être intéressante le robinson Crusoé de l’espace est tout de même assez sympa et réaliste pour le coup, c’est dans sa deuxième partie qu’il pose problème. Le fait d’être seul, pousse notre héro à réveiller une des filles les plus jolie et intéressante du vaisseau afin de ne pas être seul le reste de sa vie, là aussi on crie à l’originalité à ce moment, même si on commence tout doucement à s’ennuyer. C’est dans leur quête où le film nous perdra, avec une dernière partie, même si on est dans le symbole, n’est pas réaliste pour un sous. Une dernière partie de film laborieuse tout comme son scénario La dernière partie, attention spoilers, va en effet décevoir. Nos héros vont s’apercevoir que le vaisseau est endommagé et vont devoir le réparer. L’astuce consiste à ouvrir une porte pour refroidir le noyau via l’espace. L’idée semble juste mais tout de même périlleuse, mais bon on serait dans une sorte de sacrifice à la Armageddon, alors pourquoi pas. Chris Pratt va donc sortir dans l’espace pour ouvrir la porte afin de refroidir le fameux noyau, il découpe soigneusement une porte pour créer une sorte de bouclier pour se protéger, même si scientifiquement la porte fondra également, mais pourquoi pas. Il sort et ouvre la porte mais doit rester sur place, la chaleur s’évacue et refroidi le noyau comme prévu mais devrai flamber notre héros comme une merguez lors d’un barbecue d’été, mais il n’en ai rien… cela l’éjectera et fera un trou dans sa combinaison. Le héros qui devais initialement mourir brulée et carboniser va peut être se retrouver sans air dans l’espace et mourir ainsi. Mais Jennifer Lawrence ne peut accepter cela. Pendant que Chris Pratt meurt littéralement dans l’espace, notre héroïne va avoir le temps d’enfiler une combinaison, le rechercher et le réanimer (je suis très sérieux). Le vaisseau est réparé et tout le monde va bien. Je ne parlerais pas de la maintenance du vaisseau, il y a bien un droide super élaborer en barman mais personne pour les dégâts qui peuvent s’engendrer sur le vaisseau. Cela parait difficile à croire mais quand on sait que le scénariste est le même qui travaillait sur Prométhéus on comprend facilement le problème. De belles images C’est peut être le point fort du film alors profiter ou moins de la vue. En résumer Ce film est beau, propre, mais son scénario ne tiens pas la route. L’idée de départ est sympathique mais on peut difficilement tenir deux heures sans s’ennuyer. Article : Gautier
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