Mon avis sur Résident Evil VII : 16/20
28/1/2017
Resident Evil VII est un survival-horror en vue à la première personne. Dans un style sombre et glauque qui semble revenir aux racines de la série, ce nouvel épisode a également été pensé pour la réalité virtuelle. (Avis testé sans VR) Après un épisode VI trop porté sur l’action et s’éloignant de la franchise résident Evil, Capcom décide de se réinventé la saga. A la ligné de Outlast et Amnésia, Résident Evil VII rend hommage au joueurs de la première heure. Un scénario hommage au grand film d’horreur Massacre à la tronçonneuse, Rings, l’exorciste sont des références du 7ème arts et il est normal que l’industrie du jeu vidéo s’en inspire. Résident Evil VII, se permet d’avoir sa propre identité sans aller copier les œuvres d’origine. Cependant l’histoire reste tout de même lambda, avec très peu de surprise au final pour une introduction restant captivante. Le jeu reste très scripté, certains adorerons ce style, mais il ne faut pas s’attendre à un changement quelconque au file de votre partie. Une ambiance digne d’un jeu d’horreur Des murs qui suintent la crasse, des personnages glauques, un environnement qui ferai pâlir un claustrophobe, ce résident Evil a tout pour plaire. C’est la grande force de ce jeu finalement. Etudié également pour la VR, l’immersion reste total. De plus l’avantage de cette ambiance maitrisé, les surprises peuvent surgir à tout moment. Un Gameplay qui manque de réactivité Un des points faible du jeu assurément, c’est la maniabilité faiblarde du personnage. Cependant pour le reste le titre gagne des points sur le menu restant simple et sans prise de tête, la fabrication de potion sera un jeu d’enfant. On conserve les coffres et système de sauvegarde de la série qui marque une véritable signature. On regrette, tout de même sur le mode normal, d’avoir un nombre illimité de cassettes pour sauvegarder ce qui facilite grandement le jeu, par chance sur le mode survie l’erreur est rectifiée. Capcom a retenue la leçon et a ranger dans ces placards les phases de QTE (phase qui consiste à violer sa manette en martelant les touches montrées à l’écran). Une durée de vie assez courte parfois pensé pour acheté les « Season Pass ». Pour le reste malheureusement, le jeu reste vite expédié, notamment sur son final pensé pour faire dépenser les joueurs. En effet un DLC est prévu gratuitement mais 2 autres DLC payant ont dores et déjà été annoncé pour profité à 100% du jeu. A noter que tout les DLC ne seront pas compatible VR. C’est une méthode de plus en plus utilisée chez les producteurs pour assurer des ventes additionnelles mais qui parfois dessers l’aspect scénaristique d’un jeu vidéo. Comptez entre 6 à 8h pour le finir ce qui reste assez court même si il reste de bonne facture. En résumer La saga Resident Evil semble enfin avoir écouté les joueurs. Le jeu reste court mais le reste est une réussite. Les graphismes sont très bien fini et des lumières travaillés, proposant une ambiance horrifique digne des grands films d’horreur dont il rend hommage. Resident Evil s’inscrit dans les plus grand jeu d’horreur et surprend comme à l’époque du premier opus sortie 1996. L’histoire reste classique mais suffit à être prenante et efficace. Article : Erwan
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