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Mon avis sur Rogue One (a Star Wars Story) : 18/20

23/12/2016
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Situé entre les épisodes III et IV de la saga Star Wars, le film nous entraîne aux côtés d’individus ordinaires qui, pour rester fidèles à leurs valeurs, vont tenter l’impossible au péril de leur vie. Ils n’avaient pas prévu de devenir des héros, mais dans une époque de plus en plus sombre, ils vont devoir dérober les plans de l’Étoile de la Mort, l’arme de destruction ultime de l’Empire.

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                                                                                           [Attention Spoilers ! ]

             Attendu et aussi redouté, le premier spin off de la franchise arrive sur nos écrans. Star Wars épisode VII avait beaucoup déçut même si nous avions juste un début d’histoire, on ne peut juger ce qui est fini. Rogue one est un film unique sans suite donc beaucoup d’éléments à développer avec une finalité déjà connu, rajoutez y un réalisateur qui a passé son temps à suggérer dans ses précédents films, les spectateurs avaient de grandes raisons d’avoir peur de ce film. Mais nos peurs s’effacent au fur et à mesure que le film avance, rien que l’introduction du film rassure avec une nouvelle planète vaste, vide, idéal pour s’y cacher rappelant d’anciens films asiatiques.

De nouvelles planètes offrant un véritable univers étendus

                Voilà pourquoi on aime Star Wars, découvrir des nouvelles planètes et cultures, Rogue One en est remplit et habille vraiment le film grâce à cela. En effet différentes planètes seront parcouru tout au long du film allant même nous montrer un camp de travail de l’empire accentuant les références liées à la secondes guerre mondiale. Un ancien temple Jedi également présent nous rappelant aussi d’autres références cette fois ci sur les différentes guerres de religions. De plus on peut faire aussi un effet miroir aux guerres moderne, si on regarde bien l’étoile noire symbolise la bombe nucléaire, mais comme l’arme n’est pas encore opérationnel nous avons quelques essaies et là cela ressemble aux frappes chirurgicales faites de nos jours.

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Un contexte politique solide

                L’empire a dû mal à faire passer ses idées au sénat d’où l’existence de l’étoile noire, cela est évoqué dans l’épisode IV mais beaucoup plus développé ici. Sur certaines planètes l’empire sème la terreur, l’occupation est même évoqué. Le film développe ce qui manquait entre l’épisode III et IV, même si pour beaucoup cela reste épisodique, c’est un amoureux de Star Wars qui a écrit cela et aime l’ensemble de l’œuvre ce qui fait grandement plaisir.

Un film prenant en compte la prélogie et la trilogie

                Comme évoqué ci-dessus, c’est l’ensemble de l’œuvre qui devait être pris en compte, n’en déplaise aux détracteurs de la prélogie. Dark Vador est un homme vide presque robot, le contexte étant que les événements de l’épisode III l’ont rendu inhumain, on est toujours très impressionné de voir ce personnage aussi terrifiant soit il. Bail Organa est le même acteur que l’épisode III pour faire la jonction et le personnage de Moff Tarkin de l’épisode IV est présent également (malgré la mort de l’acteur en 1994), tout reste cohérant dans son ensemble si un jour il vous prend de regarder tous les épisodes dans l’ordre chronologique.

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Des personnages principaux manquant de développement

                Un défauts qui parfois peut rendre ennuyeux le long métrage. En effets on aurait aimer plus de profondeur et d’ambition sur les personnages principaux joué par Félicity Jones et Diego Luna, par chance certains ont beaucoup de Charisme :  le robot reprogrammé de l’empire donne un excellent rythme, ainsi que certains personnages secondaires mais surtout le méchant joué par Ben Mendelsohn dans le rôle du Directeur Orson Krennic qui lui reste un des plus développé dans cet épisode. L’intention des personnages est là même si parfois on est dans le cliché, après tout quel Star Wars n’a pas de cliché ? Si c’est un défaut, rien n’empêche pas d’apprécier cette histoire.

Des effets spéciaux dantesques

                Un élément qu’on ne peut contester dans la prélogie, c’est l’abus de fond vert qui rendent les images  et effets trop faux à l’écran. Tout comme l’épisode VII, Disney applique cette politique réaliste mélangeant effets, costumes et décors réel. Le dernier acte offre vraiment la meilleure bataille de toute la saga, sans nous laisser nous essouffler une seule secondes. Les personnages qui sont en effet Spéciaux comme la princesse Leia ou le personnage de Moff Tarkin sont tout simplement bluffant.

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Une mise en scène habile

                Enfin Gareth Edwards nous fait une mise en scène recherchée et maitrisée, plusieurs plans vous resterons en mémoire, comme la morts des différents personnages. Si on regarde la mort du méchant principale qui regarde sa création, l’étoile noire, le tuer est tout simplement magnifique, rappelant grandement Hiroshima. La mise en scène de Dark Vador aussi est étudiée même si il reste peu nombreux. Beaucoup de plans sur le gigantisme très recherchés aussi avec de grands plans larges nous rappelant cet univers est très vaste et qu’il y a encore beaucoup à développer.

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En résumer

                Rogue one aurait pu être épisodique cependant le film apporte beaucoup de précision à l’univers étendu. Disney prend enfin des risques et Gareth Edwards maitrise sa mise en scène offrant l’épisode le plus noir et aboutie depuis L’épisode III.

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Article : Gautier
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