Mon avis sur The Predator
9/11/2018
Les pires prédateurs de l'univers sont maintenant plus forts et plus intelligents que jamais, ils se sont génétiquement perfectionnés grâce à l'ADN d'autres espèces. Alors qu’un jeune garçon devient accidentellement leur cible, seul un équipage hétéroclite d'anciens soldats et un professeur de science contestataire peuvent empêcher l’extinction de la race humaine. Article : Gautier Lefeuvre
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Mon avis sur The First Man
9/11/2018
Pilote jugé « un peu distrait » par ses supérieurs en 1961, Neil Armstrong sera, le 21 juillet 1969, le premier homme à marcher sur la lune. Durant huit ans, il subit un entraînement de plus en plus difficile, assumant courageusement tous les risques d’un voyage vers l’inconnu total. Meurtri par des épreuves personnelles qui laissent des traces indélébiles, Armstrong tente d’être un mari aimant auprès d’une femme qui l’avait épousé en espérant une vie normale. Article : Gautier Lefeuvre
Page Facebook movies365 : https://www.facebook.com/gautierlefeuvre53/ Twitter pour nous suivre : https://twitter.com/indogogo Mon avis sur Venom
21/10/2018
Possédé par un symbiote qui agit de manière autonome, le journaliste Eddie Brock devient le protecteur létal Venom. Article : Gautier Lefeuvre
Page Facebook movies365 : https://www.facebook.com/gautierlefeuvre53/ Twitter pour nous suivre : https://twitter.com/indogogo montage : Gautier Lefeuvre Musique : - Nexow - Midnight Road - Nexow - Aurora Et vous qu'en avez vous pensez ? N'oubliez pas d'aimer la page Movies365 pour commenter et ne rien manquer ! Mon avis sur a star is born
21/10/2018
Star de country un peu oubliée, Jackson Maine découvre Ally, une jeune chanteuse très prometteuse. Tandis qu'ils tombent follement amoureux l'un de l'autre, Jack propulse Ally sur le devant de la scène et fait d'elle une artiste adulée par le public. Bientôt éclipsé par le succès de la jeune femme, il vit de plus en plus de mal son propre déclin… Article : Gautier Lefeuvre
Page Facebook movies365 : https://www.facebook.com/gautierlefeuvre53/ Twitter pour nous suivre : https://twitter.com/indogogo montage : Gautier Lefeuvre Musique : - Nexow - Midnight Road - Nexow - Aurora Chaque année, des dizaines de milliers de jeunes gens, filles et garçons, se lancent dans des études en soins infirmiers. Entre cours théoriques, exercices pratiques et stages sur le terrain, ils devront acquérir un grand nombre de connaissances, maîtriser de nombreux gestes techniques et se préparer à endosser de lourdes responsabilités. Ce film retrace les hauts et les bas d’un apprentissage qui va les confronter très tôt, souvent très jeunes, à la fragilité humaine, à la souffrance, aux fêlures des âmes et des corps. C’est pourquoi il nous parle de nous, de notre humanité. Ayant adoré « Etre et avoir » , un des nombreux documentaire de Nicolas Philibert, et exerçant le métier d’infirmière, je pensait être la cible de ce nouveau long métrage. « De chaque instant » suit pendant plusieurs mois la vie de plusieurs étudiants infirmiers. On y observe un quotidien entre cours , stage , larmes et doutes. Le documentaire est découpé en plusieurs chapitres : les cours , les stages et les entretiens post-stage. Voila déjà un problème à mon sens. On aurait préféré que les histoires se mélangent ou de suivre une année chronologique. Le réalisateur a surement voulu faire l’écho aux trois années d’étude et ainsi montrer les différents abords de cette formation qui mélange apports théoriques, stages et débriefing en IFSI (Institut de formation en soins infirmiers) . Cette découpe casse un peu le rythme du film. En effet, certaines scènes sont longues et peuvent être un peu soporifique. Ma collègue a même fermé ses yeux quelques instants pendant la projection (événement qui , en ma présence, n’est arrivé que devant l’ennuyeux « Planétarium » qui nous avait valu une bonne sieste). Les trois parties sont déséquilibrées : celle concernant les stages semble beaucoup moins fournie contrairement a celle du temps des échanges avec les formateurs et cela est bien dommage. On vous avoue qu’on aurait préféré que l’action tourne autour d’un ou de plusieurs étudiants plutôt que sur une promotion entière. Cela aurait surement permis de mieux appréhender les différents parcours de chacun. A la place, on vit des brides sans avoir vraiment de réel suivi. Quand le générique de fin est apparu, on s’est posé une multitude de questions en particulier sur la finalité de ce reportage. En effet, ce film se pose comme un regard sur le quotidien de ces étudiants sans vraiment proposer de réelle direction. Où alors, en tant que moi-même professionnelle de santé, je me suis juste retrouvée face à des instants que je connaissais déjà. C’est vrai qu’on peut avouer que le documentaire est très réaliste. On a vraiment la sensation que la caméra a été posée dans un coin et qu’on l’a laissé tourner tout simplement. Le réalisateur n’a pas fait d’impasse sur cette formation exigeante au niveau personnelle. On y voit l’implication des étudiants et leur envie de vite réaliser les bons gestes. Mais aussi la violence de certains lieux de stage. Les étudiants y expriment leurs craintes et leurs attentes mais aussi leur désillusion sur cette profession qu’ils ont choisie. en résumé : « De chaque instant » reste un documentaire de qualité et proche de la réalité. Mais semble destiné à des gens en dehors du système de santé. Article : Marine
#1 Film and culte : Orca (1977)
12/9/2018
Passant outre les conseils de la scientifique Rachel Bedford, le capitaine Nolan décide de chasser un épaulard dans le but de revendre l’animal à un aquarium. Deux ans après Jaws, Michael Anderson décide de compléter ce genre cinématographique avec Orca. C’est le 22 juillet 1977 que le film sortira aux états Unis, le 21 décembre 1977 en France. A sa sortie le film sera accueillit de façon mitigé, les spectateurs reprochent au film plusieurs éléments comme les effets spéciaux, la ressemblance frappante avec les dents de la mer et l’aspect scientifique sur le comportement des orques. Il y a très peu de films avec des monstres ou animaux marins qui restent imprimé dans l’histoire du cinéma. Un des premiers films important sur le sujet était 20000 lieues sous les mers en 1954 par la suite les dents de la mer en 1975 puis piranhas en 1978. Pour le reste, très peu de film ont réussi à être intéressant ou se détacher du genre. Orca reste un des plus marquants car il essayait au contraire d’être différent par son thème. En effet on sera très loin des dents de la mer. Par ailleurs, le début se veut un clin d'œil critique à l'égard des Dents de la mer, mais j’y reviendrai également après. Je n’ai jamais compris pourquoi on reprochait les effets spéciaux du film, les trucages sont réussit pour l’époque et j’ai encore beaucoup d’admiration pour le travail réalisé sur sa qualité. Rien que pour les images très peu d’utilisation d’animatroniques et plus d’images réelles des animaux marins seront utilisé afin d’être le plus réaliste possible et mieux encore faire que le film vieillisse bien. Sera une mission accompli pour ma part car encore aujourd’hui on décèle très peu les trucages. Et le fait d’utiliser de vraies images d’orques accentue vraiment le réalisme à l’écran. Même si je suis un grand fan des dents de la mer, l’animatronique se ressent beaucoup dans le film. mais la ressemblance avec les dents de la mer reste assez incompréhensible, outre le fait d’avoir des hommages dans le film, le scénario explore un angle totalement différent. En effet dans les dents de la mer, on représente le requin comme une machine à tuer et aucun désire de vengeance en résulte. Dans Orca on oppose l’homme à l’animal sur une vengeance. De plus le scénariste va plus loin dans l’inédit puisque il explore l’inverse de Moby Dick puisque il s’agit de la vengeance du cétacé. d’après les récentes études le comportement des orques est assez loin de ce que nous présente le film. Mise à part les cries soit disant presque humain dans le film, le reste sont bien de véritables cliques d’orque, ouvrant le parallèle entre l’homme et l’animal. Le réalisateur déposera ses caméras essentiellement Petty Harbour, petite ville côtière de la province de Terre-Neuve-et-Labrador, au Canada. Cela donne des images peu communes très reculé et qui en plus donnera des images assez dingues notamment vers la fin du film. Le film s’ouvre sur les cliques des Orques un langage similaire au dauphin. C’est loin d’être anodin pour le message du film puisque l’Homme et l’animal n’arriveront jamais à se comprendre. A noter qu’on a découvert il y a peu que les Orques utilise des cliques différents selon les groupes à l’image de l’homme et ses langages à travers les pays. Se sera véritablement important dans le film car le réalisateur souhaitera que l’Orque soit le reflet de l’Homme. Plus le film avance plus L’homme réveille son humanité et deviens de moins en moins stupide. L’orque quand à lui par sa vengeance montre au fur et à mesure du film son animalité. C’est pour cela que ce film à marqué mon enfance, il évoque comme une fable l’histoire d’un pécheur devenue un homme qui agissait au début de l’histoire comme un animal. Et un animal démontré comme un homme ou similaire au lui qui par la cruauté de celui-ci réveillera l’animal qui sommeille. Oui le film a des défauts, bien évidement mais reste pour moi un incontournable du genre. Il reste visuellement incroyable pour l’époque avec un scénario universelle. et même si on reste très terre à terre, il faut lire entre les lignes du films pour comprendre son messages. Nos actions sur la nature on des conséquences et tôt ou tard celle-ci se retournera contre nous. Bien qu’à l’époque la dimension écologique importait peu aux hommes le film était déjà avant-gardiste sur le sujet et évoquait déjà la crédulité de l’homme. Page Facebook movies365 : https://www.facebook.com/gautierlefeuvre
Twitter pour nous suivre : https://twitter.com/indogogo Movies365 Crédits Montage : Gautier Lefeuvre Article : Gautier Lefeuvre Musique : Nexow - Aurora Nexow Nexow - Lake Controle Thalassa : Luna, l'orque qui aimait les hommes : https://www.youtube.com/watch?v=v19lksOCczs Une orque pousse son bébé mort à la surface de l'eau pendant plusieurs jours : https://www.youtube.com/watch?v=ycf7hbt_96M Les orques de Crozet : David et les Goliaths - Documentaire animalier : https://www.youtube.com/watch?v=EW7PpnC9Aks Film Orca (1977) Date de sortie 21 décembre 1977 (1h 35min) De Michael Anderson Avec Richard Harris, Charlotte Rampling, Will Sampson Genres Aventure, Epouvante-horreur, Thriller Nationalité Américain Au début des années 70, au plus fort de la lutte pour les droits civiques, plusieurs émeutes raciales éclatent dans les grandes villes des États-Unis. Ron Stallworth devient le premier officier Noir américain du Colorado Springs Police Department, mais son arrivée est accueillie avec scepticisme, voire avec une franche hostilité, par les agents les moins gradés du commissariat. Prenant son courage à deux mains, Stallworth va tenter de faire bouger les lignes et, peut-être, de laisser une trace dans l'histoire. Il se fixe alors une mission des plus périlleuses : infiltrer le Ku Klux Klan pour en dénoncer les exactions Article : Gautier Lefeuvre
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31/8/2018
Robert McCall continue de servir la justice au nom des exploités et des opprimés. Mais jusqu’où est-il prêt à aller lorsque cela touche quelqu’un qu’il aime ? Article ; Gautier Lefeuvre
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23/8/2018
Un avocat disgracié reconverti en coach pour concours de beauté prend pour cliente une adolescente brimée et en quête de vengeance. Il ignore alors tout du monstre qu'il est sur le point de libérer.. Si il y a bien une série qui a fait parler d‘elle récemment, c’est bien le nouveau bébé de la plateforme Netflix. Dès la diffusion de la bande annonce, le Net s’est enflammé. Accusée de grossophobie, beaucoup ont demandé sa censure immédiate. On vous avoue qu’avec une telle polémique, on a directement ajouté Insatiable dans notre liste histoire de se faire notre propre avis. Et puis rien de mieux qu’un « Bad Buzz » pour faire parler du projet bien avant sa sortie. Le thème principal de la série est la vengeance. Patty (interprétée par Debby Ryan) est une adolescente bien décidée à prendre sa revanche. Une adolescente en colère en somme. Surtout que cette rage s’essouffle rapidement et elle est remplacée par des béguins de plus en plus incongrus et une passion pour les concours de Miss. Au final, la minceur n’est pas la solution à ses problèmes et après des années de souffrance la vengeance ne semble pas être la solution à son épanouissement. une impression de série Disney? Dès le premier épisode, on a ressenti de la nostalgie : une vague impression de retrouver les séries Disney de notre adolescence. Un univers très coloré, une histoire de happy-ending où tout le monde est beau, des concours de miss sur fond religieux ou encore des parents maquillés plus que de raison. On pense que Debby Ryan n’est également pas là par hasard. Restée presque dix ans dans l’écurie Disney, elle fut la star de nombreux programmes comme Jessie ou 16 vœux (si vous avez 12 ans et que vous aimez la soupe on vous conseille ces programmes). Que dire également sur Alyssa Milano (une de nos idoles de jeunesse grâce à son rôle de Phoebe dans Charmed) ? Elle est méconnaissable dans le rôle de la femme au foyer obsédée par les ragots et les événements mondains. Netflix a-t-il voulu faire une nouvelle série adolescente ? La réponse est non. En effet, Insatiable semble avoir différents niveaux de lecture (où alors on intellectualise peut être un peu trop …). Derrière ce côté très « PopColor », la série aborde des sujets que la chaine avec la souris aux grandes oreilles a tendance à éviter. Le harcèlement, l’homophobie ou bien les Transgenres sont au coeur de l’histoire. Ses thèmes sont, malgré tout, traités de manière un peu maladroite. Mais la série se veut très « second degré ». Elle se positionne à l’opposé d’un 13 reasons why qui se veut choquant dans la mise en scène (on reste encore choqué par cette scène de viol). Insatiable est du genre comédie satirique mais elle manque de mordant. Voilà toute la différence ! On aurait apprécié que Netflix pousse la série plus loin. en résumé : La série Insatiable ne valait pas autant de polémique. Elle n’est pas si politiquement incorrecte. On aurait voulu que la série soit poussée dans ses retranchements et que les dialogues soit plus incisifs. Une petite déception. Article : Marine
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20/8/2018
Au cœur de l’océan Pacifique, le sous-marin d’une équipe de chercheurs a été attaqué par une créature gigantesque qu’on croyait disparue : le Megalodon, un requin préhistorique de 23 mètres de long. Le sauveteur-plongeur Jonas Taylor doit risquer sa vie pour sauver les hommes et les femmes prisonniers de l'embarcation… et affronter le prédateur le plus terrible de tous les temps. Article Gautier
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