Les meilleures intentions finissent souvent par se retourner contre vous… Dans MISSION : IMPOSSIBLE – FALLOUT, Ethan Hunt accompagné de son équipe de l’IMF – Impossible Mission Force et de quelques fidèles alliées sont lancés dans une course contre la montre, suite au terrible échec d’une mission. Article : Gautier
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Mon avis sur Zoé
1/8/2018
Une histoire d’amour sur fond de nouvelle technologie, avec un laboratoire de recherche scientifique travaillant sur un moyen d’améliorer les relations entre les êtres humains... Critique également sur Dailymotion :Article : Gautier
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31/7/2018
Après les événements survenus dans Captain America : Civil War, Scott Lang a bien du mal à concilier sa vie de super-héros et ses responsabilités de père. Mais ses réflexions sur les conséquences de ses choix tournent court lorsque Hope van Dyne et le Dr Hank Pym lui confient une nouvelle mission urgente… Scott va devoir renfiler son costume et apprendre à se battre aux côtés de La Guêpe afin de faire la lumière sur des secrets enfouis de longue date… Article : Gautier
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3/7/2018
Une famille tente de survivre sous la menace de mystérieuses créatures qui attaquent au moindre bruit. S’ils vous entendent, il est déjà trop tard. John Krasinski connu surtout pour la série The office nous offre une de ses créations puisqu’il Réalise, écrit et produit le film en question. Sans un bruit ne révolutionnera pas le cinéma, cependant on apprécie réellement la démarche et son ambiance. La peur de devenir parent Si sans un bruit fait partie des films d’horreur post-apocalyptique, il faut parfois lire entre les lignes. Jeune papa, John Krasinski évoque lui-même cette difficulté et a centralisé le film sur comment protéger au mieux ses enfants du monde extérieur. Tout comme dans le film, le danger est partout et au moindre faux cela peut vite devenir un problème. "J’étais déjà en train de faire face à toutes les angoisses du jeune parent – comment protéger mes filles et être un bon père – quand j’ai reçu ce scénario, si bien que je m’y suis identifié à un niveau très personnel. J’ai senti que sous la surface de l’histoire, il y avait une métaphore intéressante mais terrible sur le rôle d’un parent. J’étais vraiment très à fleur de peau et très nerveux à ce moment-là, et ça a donc été très fort d’imaginer ce que des parents seraient prêts à faire pour protéger leurs enfants, c’est-à-dire faire l’impossible, vivre sans un bruit. Mon imagination s’est totalement affolée. Il y avait tellement d’éléments à explorer à partir de cette idée”. JK Gros travail sur la mise en scène et le son Pratiquement tout le film est sous silence, on utilise la langue des signes, le reste ne sont que des bruits d’objets, ou des cours d’eau naturel. Rien est laisser au hasard et l’écriture est très importante dans ce genre de cas, afin que ce soit le plus réaliste et cohérent possible. On ne sera pas surpris que les personnages soient pieds nus pour faire le moins de bruit possible, ni d’avoir les pions du Monopoly remplacé par des bout de tissus, bref tout est pensée et réfléchit. "Je me suis mis à tout écouter, du cliquetis des couverts sur les assiettes jusqu’à la façon dont les chaussures tombent sur le sol lorsqu’on les enlève. C’est même devenu une sorte de jeu à la maison : ma femme [Emily Blunt] et moi, on essayait d’être silencieux et si jamais l’un d’entre nous faisait le moindre bruit, il fallait qu’on se tourne l’un vers l’autre le plus silencieusement possible et lui dise ‘t’es mort’. Finalement, ça a été une très bonne préparation”. Des personnages intéressant L’idée de ne pas faire de bruit dans le film est une chose mais intégrer un enfant mal entendant est vraiment une très bonne idée. C’est l’actrice Millicent Simmonds qui interprète ce personnage débordant d’émotion : "En tant que jeune fille sourde, elle se sent rejetée, pas à sa place ou pas vraiment sûre de la meilleure façon d’aider sa famille. Et elle dépend vraiment de son appareil auditif, dont elle a vraiment besoin pour communiquer. (...) Je passais mon temps à me comparer aux entendants et à me demander pourquoi j’étais née sourde. Je pouvais donc vraiment comprendre les émotions de Regan, et je m’en suis servie pour façonner ce personnage".L’autre enfant est également intéressant, et sera même une sorte d’intermédiaire entre le père et Regan qui n’arrive plus trop à communiquer. C’est assez paradoxal de dire cela, mais chacun culpabilise d’avoir tué un membre de la famille, Regan pour avoir laissé son frère prendre un jouet bruyant et les parents de ne pas avoir fait assez attention. Depuis la communication reste absente et beaucoup de « non-dit ». Classique tout de même Cela ne révolutionne pas le genre, cela fonctionne, c’est bien pensé et c’est cohérent. Très agréable à regarder et même à revoir mais cela n’a rien d’exceptionnelle pour autant. Quelques facilités scénaristique présentes comme l’accouchement du bébé. En effet cette scène est remplit de tension, on se demande comment elle va faire pour ne faire aucun bruit sachant qu’un monstre rode dans la maison. Au moment où le mari est dans la maison, le bébé est déjà là…mouai. Cela dit, toute la scène qui suit est bien pensée pour faire que les monstres n’entendent pas le bébé crier. En résumé Sans un bruit est convenue dans le genre mais essaye de se démarqué tout de même sans presque aucun dialogue. John Krasinski réussit ce qu’il voulait entreprendre à savoir représenté la difficulté de devenir parent et de vouloir à tout prix protéger ses enfants d’un monde hostile. Sous texte et personnage intéressant, « Sans un bruit » arrive facilement à nous séduire et reste de bonne facture. Article : Gautier
Huit individus éparpillés aux quatre coins du monde sont connectés par une soudaine et violente vision. Désormais liés, ils se retrouvent capables du jour au lendemain de se voir, de se sentir, de s'entendre et de se parler comme s'ils étaient au même endroit, et ainsi accéder aux plus sombres secrets des uns et des autres. Les huit doivent dès lors s'adapter à ce nouveau don, mais aussi comprendre le pourquoi du comment. Fuyant une organisation qui veut les capturer, les tuer ou faire d'eux des cobayes, ils cherchent quelles conséquences ce bouleversement pourrait avoir sur l'humanité. J’ai longtemps hésité à écrire sur cette série, la vérité c’est que si j’écrivais une critique elle n’aurait pas été objective. En effet je peux comprendre parfaitement que l’on n’aime pas ce genre de série. Personnellement j’en suis tombé amoureux. Alors comment critiquer si on est tombé en amour comme dirait nos homologues québécois ? Tout simplement en exprimant mon ressentit. J’ai découverts cette série il y a quelques semaines, le dernier épisode faisait débat sur Twitter me rappelant qu’il fallait que je me lance dans l’œuvre de Lana et Lilly Wachowski. Le coup de foudre fut instantané dès le premier épisode. Les règles sont finalement simples nous offrant un programme original. Certaines images me transperce encore tellement elles sont magnifiques. Décors naturel offrant l’embellissement du pays dans lequel on se trouve, il s’agit clairement une vision optimiste du monde. On nous montre aussi les dérives de celui-ci et le jugement de certains regards, normale notre monde est imparfait. Je me retrouve dans chacun des personnages quel qu’il soit. Chaque soir, ils deviennent comme une famille que l’on est pressé de retrouver. Le sexe, les langues, les peurs, les sens, la joie, les doutes, l’amour, la fête, l’humanité, la passion, la musique, l’empathie, la solidarité n’ont plus de frontières on sent de l’optimiste chez les Wachowski, on sera forcément sur une Happy End. On se retrouve lié dans ce cercle et on les accompagne volontiers. Comme un doudou, cela reste intime et on en veut pas les partager. Ce cercle est une carte du monde où personne ne se juge et partage leurs connaissances pour devenir plus fort, ils font partie d’un tout. Certes tout n’est pas rose chacun doit porter son fardeau, ses peines, ses difficultés. Finalement c’est le restent du monde qui jugent mais ensemble ils inversent les chosent par leurs expériences. Chaque personnage est une couleur, un pays, une sexualité, une ambition, un avenir. Forcément on s’interroge sur soi-même et sur comment être meilleur, plus tolérant, plus sociable, plus solidaire. La série parle de connexion mais sans technologie, sans portable, plus vers l’humain ce qu’on a oublié ses dernières années. Pourtant le paradoxe c’est qu’on n’a jamais été autant connecté et dans la communication, on a seulement oublié les humains autour de nous. J’ai ressenti tout l’humanité dans cette série, j’ai vu l’absence de frontières entre les sens, j’ai vu l’amour du monde. Impossible de conseiller cette série sans avoir de frissons. En même temps il faut être ouvert d’esprit et tolérant pour plonger dans cet univers. J’ai été transporté, j’ai voyagé, j’ai appris et rêver grâce à cette série. J’aurais comme tout fan de la série envie que cela continue mais le final reste en adéquation avec le reste et l’ambiance de la série. La musique, le cinéma, la photo, la peinture, la sculpture, bref l’ensemble des arts est au cœur des événements. Forcément c’est avec l’art que l’on ressent le plus de choses, il ne sera pas étonnant de voir nos héros ressentir des émotions forte comme lors qu’un concert de musique classique se rappelant même leurs naissances respectives. Ni étonnant de partager leurs émotions et connections quand ils font l’amour. Une fresque d’amour ressemblant également à des tableaux de grand maître bordé par des « slows motion » au service de l’image. Cette série est un véritable, bijoux, de l’art au point de ressentir de multiple émotions. Les images sont assez marquantes et les Wachowski prouvent encore une fois leur maîtrise du cinéma et de son art. Des messages à la fois modernes et universelles qui font réfléchir sur sa propre humanité. Je ne saurais dire à quel point cette série est merveilleuse, à quel point elle m’a fait réfléchir, à quel point cette série est tolérante et moderne. Merci à vous Lana et Lilly pour tout ce que vous avez fait un cinéma et aujourd’hui au monde des séries. Article : Gautier
Mon avis sur hérédité
24/6/2018
Lorsque Ellen, matriarche de la famille Graham, décède, sa famille découvre des secrets de plus en plus terrifiants sur sa lignée. Une hérédité sinistre à laquelle il semble impossible d’échapper. Très rares sont devenue les bons films d’horreurs. La plupart privilégie l’action et en oublie l’ambiance. Le film hérédité du réalisateur Ari Aster dont c’est le premier film, change les codes et revient sur un cinéma plus des années 1970. Au risque de ne pas plaire au grand public, il n’hésite pas à prendre son temps sur la mise en scène ainsi que l’élaboration des personnages. Nous sommes sur le registre de l’épouvante et son but n’est pas de copier le genre bien au contraire mais d’être original. Oui le film est poussif, long et certains cadres et plans ressemblent à la réalisation de James Wan (The Conjuring). C’est assez efficace, au point d’avoir un dernier acte plutôt bien trouvé et loin d’être idiot. Les acteurs sont vraiment bien dirigés et jouentvraiment très bien. Ambiance privilégiée Certaines scènes sont vraiment surprenante et peut même mettre mal à l’aise. Une scène par exemple, celle du repas après la perte tragique d’un des membres de la famille, la tension est palpable et vraiment bien joué. Tout au long du métrage l’ambiance est mise en avant et posée. Le son est aussi travaillé et instaure aussi un climat pesant et angoissant. Un scénario loin d’être idiot contrairement aux apparences Il fait réfléchir après le visionnage si on s’en donne la peine. Une fois les révélations dévoilée, on se refait le film dans sa tête et plusieurs éléments s’ajoutent et n’était pas dû au hasard. Par exemple Charlie a toujours été Paimon depuis le début, preuve par la sur protection de sa grand-mère qui avait invoqué le dieu païen jadis. Le fait que le démon Paimon souhaite un corps masculin fait sens par la suite. "Charlie est le premier hôte qui fonctionne pour Paimon", explique le réalisateur Ari Aster à Variety. Elle l’a été "depuis sa naissance. Enfin, il y avait une petite fille à l’origine, mais elle a été remplacée dès le début". Alex Wolff, qui joue le frère de Charlie ajoute aussi un fait intéressant qui rend le film encore plus original : « ce qui est intéressant, c’est qu’elle n’est pas forcément méchante. Elle a peur en fait. Elle est née comme ça, et elle ne se sent pas reliée au reste du monde. C’est une analogie un peu dérangeante et tordue des troubles psychiques ». En commençant le film avec cette petite fille totalement bizarre et déconnecté n’est finalement pas là comme hasard. On apprend également que la grand-mère à déjà essayer d’invoqué Paimon dans le corps du frère d’Annie qui c’est suicidé quelques années plutôt. Finalement il n’était pas Schizophrène. Parlons maintenant d’une scène marquante celle de la décapitation de Charlie qui sonne comme un accident. Cependant si on regarde de plus près, après visionnage, la décapitation faisait partie du plan. D’ailleurs le réalisateur lui-même assure qu’il ne s’agit "pas d’un accident comme on pourrait le penser en voyant le film la première fois". D’ailleurs, le symbole du roi Paimon se trouve sur le poteau qui la décapite. Tout cela faisait partie du plan pour redonner un corps à la divinité. . "C’était absolument inévitable, la famille n’a aucun pouvoir. Toute tentative de contrôler les choses est vouée à l’échec", jure Aster. Même si Annie n’avait pas invoqué l’esprit de sa fille, "ce se serait tout de même passé. Elle ne fait qu’accélérer les choses. On observe une des façons dont tout cela pouvait arriver". Et brûler le carnet n’aurait pas eu plus d’effet : "Annie est prête à se sacrifier pour son fils. C’est un geste magnifique mais dans la cruelle logique du film, c’est tout à fait vain. Au final, elle n’a pas le choix". D’ailleurs la manipulation de cette famille est symbolisée par les maisons de poupées. On les manipule de la même façon, des poupées dans une maison de poupée. Pour information Paimon, du moins le personnage n’est pas une pure invention : on retrouve notamment sa trace dans un traité de magie rituelle du XVIIe siècle, Lemegeton Clavicula Salomonis ou la petite clé de Salomon. "Je ne suis pas du tout versé dans les sciences occultes, donc la phase de recherche a été dérangeante", confie Aster, également scénariste. "Mais je savais ce qu’il fallait faire et que j’avais besoin que les éléments rituels du film (…) soient basés sur quelque chose de réel. J’ai lu des manuels de sorcellerie qui indiquent aux gens comment jeter des sorts et ce genre de choses". Une création pas sans défaut mais à encourager Si on note un problème de rythme mais volontaire de la part du réalisateur, la peur ne sera présente qu’au premier visionnage et c’est peut-être là le défaut majeur du film. Cependant c’est un petit film et il est indispensable d’encourager ce genre de création plutôt original et faisant son petit effet. En résumé Hérédité est plutôt réussit dans son ensemble, l’ambiance voulu par le réalisateur est bien pesante et ses plans à rallonge instaurent un climat oppressant et menaçant. Il fait partit des rares bons films d’horreurs mais ne plaira pas à tout le monde car l’action n’est pas privilégié. Il est vrai que c’est lors de votre premier visionnage que le film fera son effet, même si il fait réfléchir par la suite. Scénario travaillé avec des personnages aboutis, hérédité sort des sentiers battus rappelant les films d’horreurs des années 1970 tout en ayant une mise en scène original. Article : Gautier
Cela fait maintenant trois ans que les dinosaures se sont échappés de leurs enclos et ont détruit le parc à thème et complexe de luxe Jurassic World. Isla Nublar a été abandonnée par les humains alors que les dinosaures survivants sont livrés à eux-mêmes dans la jungle. Lorsque le volcan inactif de l'île commence à rugir, Owen et Claire s’organisent pour sauver les dinosaures restants de l’extinction. Owen se fait un devoir de retrouver Blue, son principal raptor qui a disparu dans la nature, alors que Claire, qui a maintenant un véritable respect pour ces créatures, s’en fait une mission. Arrivant sur l'île instable alors que la lave commence à pleuvoir, leur expédition découvre une conspiration qui pourrait ramener toute notre planète à un ordre périlleux jamais vu depuis la préhistoire. Si on regarde ces dernières années dans ces suites ou remakes au cinéma, nous assistons à un tsunami de Nostalgie. Copier beaucoup de scènes comme cela pu être le cas dans Jurassic World ou copier un film entier comme Star Wars VII, c’est devenu une habitude. Ces deux franchises sont intiment lié d’une part avec sa productrice Kathleen Kennedy (ancienne productrice de Jurassic Park et maintenant de Star Wars) qui fait des films comme les burgers chez McDonald. Jamais de prise de risques, juste rappeler le bon vieux temps au spectateur qui se dira : « le cinéma c’était mieux avant ». Un sentiment demeure à la sortie de chacun de ces films, à la fin on se dit « Mouai, ce n’était pas fou». Pire encore, ce genre de film ne deviendra jamais culte mais oubliable. On oubliera même l’envie de le revoir. Car sur la durée, ces films ne seront que des hybrides de déjà vu sans âmes. Quand la bande annonce de ce Jurassic World 2 est sortie, une seule chose en ressortait : le synopsis est le même que le monde perdu. Lorsque le film est enfin dévoilé, les premières critiques tombent et ne sont pas tendre et pour de bonnes raisons. Les spectateurs sont gavés littéralement de voir le même film et reconnaissent les faiblesses scénaristique. Commencerait t’on enfin a gueuler pour de bonne raisons ? Recherchons enfin avoir un bon scénario ? Un scénario recyclé avec des personnages stupides Un hybride de déjà vu sans âmes c’est pourtant c’est ce que le film dénonce implicitement. L’Indominus Rex dans Jurassic World et L’indo Raptor dans celui-ci sont des hybrides inventés pour toujours surprendre le public qui n’est plus émerveillé par les dinosaures. On recycle pour aller toujours plus loin. Le film fait du réchauffé et saborde son propre message. Il faut avouer qu’après l’Indominus Rex on passe par l’indo Raptor, cela frôle le ridicule. Le film est fait pour la nostalgie au même titre que Star Wars VII à la différence que la franchise Jurassic World fait avancer l’histoire même si le synopsis est bien celui du monde perdu. Mise à part l’introduction et son final, l’histoire est la même, jusqu’à même reprendre les mêmes personnages. Certains plans ou situation calqués de Jurassic Parc, histoire de faire un petit coup de coude au spectateur « alors, ta compris la référence ? ». Et on pourrait faire des arrêts sur images toutes les deux minutes pour jouer au jeu de « d’où vient cette référence ? ». Certes l’histoire avance mais malheureusement aux détriments de l’intelligence des personnages. Là où le premier Jurassic Park avait comme force le scénario, on ne peut le nier, plus il y a de suites, plus le scénario ne perd en qualité. Alors commençons, je reviendrai plus tard sur l’introduction du film car c’est la bonne scène du film, vraiment créative avec de véritables tensions. On commence avec le personnage de Malcolm, toujours fidèle à ses principes déjà évoqué dans le premier et deuxième film concernant la survie des dinosaures, qui hélas sont menacé par un volcan. Je n’avais jamais remarqué un volcan dans les précédents films et cela aurait créé chez moi presque un rejet. Construire un parc qu’un volcan encore en activité ? Sérieux ? Bref la question est : Doit-on sauver les dinosaures de cette île ? Grande question au parallèle intéressant concernant la vie animal, mais encore une fois cette question est déjà posé dans le film le monde perdu et les habitant de San Diego s’en souviennent encore, le rappeler aurait été intelligent et argumentatif pour Jeff Goldblum. Le personnage de Claire, interprété toujours par Bryce Dallas Howard, est devenu une activiste défendant la protection des dinosaures, en total opposition avec son personnage du premier film, ce que Fallen Kingdom ne manquera pas de souligner plus tard. Ensuite elle reçoit un appel le Lockwood, personnage qui apparaît comme un cheveu sur la soupe, alors qu’on n’y fait jamais mention dans les films précédant. Il s’agit pourtant bras droit de John Hammond. Le but étant de trouver une façon de sauver les animaux. La solution est de déplacer les dinosaures sur une autre île. J’ai envie de dire bravo sherlock, du coup on les déplace sur le site B vu que ce n’est pas trop loin… Eh bien non, ils évoquent une autre île. Peut-être un site C qui sait vraiment. Claire se dit cool, c’est partie reste à convaincre Owen, Chris Pratt, de venir car il faut retrouver le Vélociraptor, nommer Blue, car depuis le premier film cette espèce est devenue gentille. Du coup on y va avec tout ce petit monde accompagner de deux Geek sans importance. Le volcan entre en éruption comme convenue au moment où les héros sont sur place. Chris Pratt nous fait un remake du loup de Wall Street près de la lave et se met à courir comme Usain Bolt sous stéroïde. Ils se font attaqué par un carnivore qui au lieu de sauver sa vie à une petite fringale mais le bon vieux T-rex devenue gentil, lui aussi, vient les sauver. En un temps record les chasseurs arrivent à capturer les 11 espèces dont le T-rex qui vient de sauver les héros quelques minutes avant. Bien évidement on emmène tout ce petit monde sur le continent. Ils arrivent à rejoindre le bateau avec une voiture sans qu’aucuns soldats ne s’en aperçoivent. Claire commence à comprendre qu’elle s’est faite légèrement entubé sur ce coup. Blue, la Raptor perd beaucoup de sang après s’être fait tiré dessus par un chasseur. Et là on frôle le n’importe quoi, puisque les héros réfléchissent à récupérer du sang d’une autre espèce pour sauver le raptor. Et devinez quoi ? Ils vont aller prélever du sang de T-rex parce que : 3 griffes donc compatible… (Je ne déconne pas, c’est vraiment dans le film). Imaginer que l’on transfert du sang de lion sur un chat au prétexte qu’ils ont les mêmes patounes ? Blue est sauvé… Ils arrivent dans le manoir de résident évil où une mise aux enchères va avoir lieu. Une mise aux enchères de dinosaures mesdames et messieurs. Je sais que l’argent est le principal vecteur de cette mise aux enchères, mais on sonne tout de même la fin de l’humanité là non ? Je veux dire imaginer vous achetez un allosaure et malheureusement il s’échappe, c’est la fin du monde non ? C’est un peu comme si on faisait une mise aux enchères aux zombis… C’est là que l’on nous présente un nouvel hybride, quel originalité ! On sent clairement qu’il va s’échapper hein ? Mais alors comment va-t-il faire ? Ha oui, le chasseur au collectionneur de dents fait son apparition, logique. Mis à part gueuler « je veux mon bonus ! », cette personne a le QI d’une huitre. Comme vous l’avez déjà imaginez, cette personne va ouvrir la cage pour collectionner une dent et va se faire bouffer, hop le dino est libérer. Par la suite nous avons beaucoup de plans copier des anciens films dans un manoir digne du professeur Charles Xavier. Rien d’intéressant non plus dans cette dernière partie et ce n’est pas les « références horrifiques déjà vu » qui sauveront le film. On apprend que la petite fille dans le film est un clone, why not, mais on s’en fou non ? Les dinosaures sont dans une mauvaise posture, pris au piège et bientôt gazé. Il risque encore la mort. Se croyant comme eux du fait que ce soit un clone, la stupide petite fille qui aura, je l’espère un procès pour génocide contre l’humanité, décide de les libérés. 11 espèces sont libérées dont des carnivores comme un T-rex, un allosaure… et le pire c’est que le film sonne comme une Happy End a ce moment là… Voilà l’histoire, le scénario porté par Colin Trevorrow. Certes on pourrait être excité sur l’idée que les dinosaures sont sur le continent pour une suite mais c’est la façon de l’amener qui n’est pas bonne. Copier le monde perdu, car désolé c’est la même histoire, avec des personnages stupides pour faire avancer l’histoire, c’est très décevant. Même schéma que Star Wars ? Si Jurassic World a les mêmes défauts qu’un Star Wars épisode VII, Fallen Kingdom ressemble aussi à Star Wars épisode VIII dans le principe. Rappeler vous de la phrase de Kylo Ren : « faire mourir le passer ». Star Wars épisode VIII avait pris plus de risques (même si l’histoire n’avance pas ^^) et dans sa finalité et malgré encore des ressemblances notables avec les opus précédent on ne sait absolument pas où ira la saga dans le troisième film. Table raz donc du passé pour repartir sur des nouveautés ? Fallen Kingdom c’est la même chose. Les dinosaures sont en liberté sur le continent offre la possibilité d’un nouvel horizon. Attention cela ne veux pas dire que se sera une bonne chose car vu de la qualité des scénarios, nous avons tout à craindre. Un réalisateur qui s’éclate Imaginé vous êtes un réalisateur talentueux, réfléchissant a vos plans comme un vrai pro. On vous donne le scénario de Fallen Kingdom et vous vous dites « mon dieu, je dois réaliser ça ! » Dure me direz vous et pourtant le réalisateur se dit quitte à avoir un scénario aussi faible que possible, je vais faire donner le meilleur de moi-même avec des plans réfléchit et une bonne mise en scène. Juan Antonio Bayona semble être le seul être intelligent du groupe. On notera la scène d’ouverture qui est juste magnifique, jouant avec les ombres et la lumière, une tension palpable dans la salle digne du premier Jurassic Park. Dommage cela ne dure que 5 minutes. Le début du film ressemble en tout point à Dino Crisis, le célèbre jeu vidéo. Honnêtement, il serait parti sur ce genre là, cela n’aurait pas été dérangeant au contraire et cela aurait été original au sein de la saga. Une mise en scène assez sympa on n’hésite pas sur des mouvements de caméra que nous n’avions pas vu dans les précédents films, il y a ou moins ça de nouveau. Visuellement géniale Bon point pour le film, visuellement plus beau que le précédent film qui nous avait offert une bouillasse numérique, les dinosaures sont réalistes en animatronique et ça fait ou moins plaisir à voir. Le film vieillira bien visuellement ce qui est d’autant plus frustrant comparé à l’écriture. En résumé Le film a beau s’éclater sur une réalisation propre et soigné avec un visuel digne de 2018, Fallen Kingdom peine a convaincre avec un scénario écrit par un enfant de 7 ans au plus. Les personnages sont stupide uniquement présent pour faire avancer l’histoire et c’est parfois gênant vois même malaisant. Article : Gautier
Embarquez à bord du Faucon Millenium et partez à l’aventure en compagnie du plus célèbre vaurien de la galaxie. Au cours de périlleuses aventures dans les bas-fonds d’un monde criminel, Han Solo va faire la connaissance de son imposant futur copilote Chewbacca et croiser la route du charmant escroc Lando Calrissian… Ce voyage initiatique révèlera la personnalité d’un des héros les plus marquants de la saga Star Wars. Depuis que Lucasfilm est racheté par Disney, force est de constater que l’écriture n’est pas le point fort de la saga, personnages insipides, pas de réelles buts (Poe, Rey et Finn n’ont pas d’histoire à raconter…) bref c’est assez laborieux. Reste Rogue one qui était l’anomalie de cette saga Disney, alors quand le film sur Han Solo débarque, les spectateurs n’y voient pas de réel intérêt et l’annonce d’une overdose. Pourtant, ce film est beaucoup plus cohérent que l’épisode VII et VIII réunie. Bien que le film soit classique les héros ont quelque chose à raconter. Pourtant vue les bandes annonces, le film n’avait pas l’aire top et pourtant on se retrouve facilement embarqué dans l’histoire. Un scénario convenu C’est peut être le point faible, mais on anticipe assez facilement l’histoire. Beaucoup de scènes proviennent de films existant, passant par les vieux Western, ou encore l’épisode 4 de Star Wars et même la série Star Wars Rebels. Pour l’épisode 4 il ne s’agit que d’une seule scène et non pas de tout le film comme a pu faire l’épisode VII. En effet le groupe fait un braquage qui ressemble en tout point à la libération de Leila dans l’étoile noire. On devine assez simplement ce qui va se passer, le film n’arrive jamais à nous surprendre et essaye d’attirer les derniers sceptiques de la saga en proposant des éléments de l’univers étendu. Des sujets en trop Si le personnage de Lando est nécessaire son histoire avec le robot sexuelle est réellement gênante et en trop. Je n’ai rien contre la Pansexualité mais tout comme le créationnisme religieux dans la saga Alien, on est hors sujet et mieux encore ça ne fait pas avancer l’histoire. Soyons honnête, en quoi la sexualité de Lando est importante ? Ce n’est pas la sexualité qui définit un personnage. De plus Disney met en avant cette sexualité en essayant d’être les précurseurs du genre. Mais à ceci je réponds, Blade Runner l’a déjà fait avant vous. Comme Disney tiens à son cahier des charges, il faut un robot marrant, et je crois avoir trouvé le personnage le plus agaçant de la saga (je trouve Jar Jar Binks sympa à côté). Le robot prône la liberté des robots, histoire d’avoir un message d’égalité très pompeux. Ce robot aux allures de syndicaliste est d’une lourdeur. Autant dans rogue one, le robot était très bien écrit, mais ici on a juste envie qu’elle disparaisse. Imaginez ma joie quand elle décède. Je précise que ces défauts sont très minime dans le film et ne gâche en aucun cas le contenue. Après tous des défauts d’écriture il y en a dans tous les Star Wars, même ceux que j’adore. Des scènes à rallonge Un autre défaut en toute objectivité, il s’agit de certaines scènes qui sont trop longues. Les effets et la mise en scène sont de bonnes factures donc on a tout de même une belle image malgré l’étalonnage trop sombre. On peut se consoler sur ces belles images mais je dois avouer qu’au montage j’aurais réalisé quelques coupes pour un meilleur rythme. C’est un défaut que l’on retrouve sur beaucoup de films de Ron Howard. L’univers étendu de retour ? Comme je le disais plus haut, Disney continue sa stratégie d’essayer de convaincre tout le monde avec sa saga Star Wars. Il restait les fans de l’univers étendu. Alors comme on veut absolument faire un film sur un personnage qui n’a pas réellement besoin d’origine story, on va parsemer d’éléments que l’on a vus dans les jeux vidéo, les livres, ou les séries télé. Rien étonnant de retrouver Dark Maul, les diamants des sabres laser ou encore une planète vu dans le pouvoir de la force au graphique près. Et c’est loin d’être un défaut, car cela se marie bien avec le film. On pourrait considérer cela comme du fan service putassier, pour moi c’était de la cohérence. Même si je dois avouer que le retour de Dark Maul peut sembler « What the Fuck » que ce soit dans la série clones Wars ou rebels mais pourquoi pas. L’univers étendu est riche et beaucoup de personnes ont réussi à le rendre attractif et cohérent au sein de la saga, alors pourquoi ne pas l’utiliser. J’étais un des premiers à m’en plaindre au visionnage de l’épisode VII et VIII, alors autant utiliser les bonnes idées avec une bonne histoire. Sombre trop Sombre ? L’étalonnage fait débat, beaucoup pensent qu’il s’agit d’un cache misère, ce qui pourrait bien être le cas. Mais il faut avouer que les personnages ne sont pas non plus sur des planètes avec beaucoup de lumières non plus et sur certaines scènes c’est peut être voulu. En effet les personnages sont beaucoup dans des grottes, dans l’espace, dans des cantinas (cahiers des charges Disney),… les endroits sont assez sombre d’emblée ce qui peut expliquer la volonté du réalisateur et du directeur de photographie. De bons acteurs Sans mériter d’oscar, les acteurs s’en sortent bien. Les mimiques de Han sont bien présentes même si je dois avouer que ces ambitions sont assez éloignées de celui d’un nouvel espoir. Lorsque par exemple il décide d’un claquement de doigt d’aider la future alliance rebelle. Certains éléments sont trop soudains et aurait dû être plus développer au lieu de s’attarder sur le robot revendiquant l’égalité ou la pansexualité de Lando. Le casting s’en sort plutôt bien et semble impliqué dans ce qu’ils entreprennent à défauts de ce que l’on pouvait entendre avant que le film sorte. Une communication qui a desservi le film et la critique. Si on peut constater une chose, c’est que les critiques s’accorde à dire que ce n’est pas un mauvais film, ni un mauvais film Star Wars. Cependant beaucoup parlent des problèmes de productions ou de la pansexualité de Lando plus que du film lui-même. Les spectateurs se retrouvent déçut avant même que le film sorte. Et les déceptions de l’épisode VII et VIII font aussi que les spectateurs pensent que Star Wars est en déclins sur sa qualité de film. Il n’est pas étonnant que Solo fasse un flop ou en tout cas et le pire démarrage d’un Star Wars au box-office. Ce flop n’est pas sur la qualité de film ou des dates trop rapproché comme j’ai pu le lire, mais plus une overdose chez le spectateur. Car il faut bien le dire même si j’ai aimé solo, je ne pense pas non plus que ce soit un excellent Star Wars. Il reste de bien meilleur qualité que l’épisode VII et VIII mais ne vaut pas non plus les autres films de la franchise. A force d’avoir un cahier des charges trop visible de la part de Disney qui se voie à chaque film qu’ils produisent, cela commence à souler les gens. La fabrication des scénarios trop convenue parsemer de ce que veux voir le spectateur selon Disney, on reste de moins en moins surpris et de moins en moins emballé. Le problème c’est que si on fait un film uniquement sur ce veux voir le fan, cela fera jamais un bon film marquant et sincère. Pour revenir aux notes de la presse je remarque que lorsque Disney ne fait pas de projections avec panier garnie on ressente de la part des journalistes une renaissance de leur objectivité. En résumé Solo est un bon film, très divertissant et offrant enfin des éléments de l’univers étendu même si cela est un effet pervers de la part de Disney pour ramener les derniers sceptiques de la saga. Les acteurs sont impliqué, la réalisation est très correcte même si l’étalonnage est un peu sombre. Le film a pas mal de défauts, il faut bien se l’avouer, comme des scènes à rallonge, des sujets qui ne mérite pas d’être dans cette histoire, et un scénario convenue avec cahier des charges selon Disney. Il en ressort un film Star Wars tout de même en dessous de Rogue one mais cohérent au sein de la saga. Je ne suis pas fermé sur des suites bien au contraire, l’introduction sur l’aube écarlate semble est très intéressant à explorer. On les retrouvera surement dans les autres Star Wars Story soit avec Boba Fett ou Obiwan Kenobi et je dois avouer être plus emballé par ces projets que pour l’épisode IX. Article : Gautier
Mon avis sur 13 Reason Why saison 2
31/5/2018
Cinq mois après la mort d’Hannah, le procès contre le lycée s’ouvre et Tyler est le premier à témoigner. Clay trouve une photo troublante dans son casier. On aurait pu croire que la première saison se suffisait à elle-même, ce qui n’est pas faux en soit. Cependant avec un bon scénario et une bonne logique peut même donner une histoire encore plus intéressante comme avait réussi à faire la série Broadchurch. On ne pas dire que cette saison 2 soit une réussite, loin de là mais un remplissage inutile. Un scénario soporifique bordé de pleures L’idée du procès était séduisant, cependant la maman décide d’attaquer l’école, ce que je ne comprends toujours pas, mise à part si cela était une question d’argent. Mais ce n’est pas le but de la mère d’Hannah, non elle veut prouver que le lycée savait… Forcément que cette idée d’attaquer le lycée paraît étonnant surtout avec si peu de preuves sur la table. La bonne idée aurait été d’attaquer le violeur d’Hannah, car même si dans la saison 1 il y avait 13 raisons, on sent clairement que c’est la raison du viol qui était l’élément déclencheur. Ce procès est totalement inutile et on n’est pas surprit que les jurées déclarent le lycée non responsable. Comme le procès n’est pas intéressant, très difficile d’accroché, les histoires autours complète légèrement les cassettes mais n’en font pas une bonne intrigue pour autant. Les élèves se répètent sur le fait qu’Hannah était intelligente et belle après ça en générale ils pleurent, pleurent et pleurent encore. Pas de grandes révélations, les cassettes se suffisaient à elles-mêmes, c’est juste incroyable d’avoir tenue 13 épisodes supplémentaires sur cette base. De plus on a du mal à croire que ces garçons de lycée laissaient tomber Hannah et ne voulaient pas que les autres sachent qu’ils sont sortis avec. Hannah est vraiment belle, les ados devrait être fière, on a du mal à y croire. La vrai bonne idée aurait été de caster quelqu’un de moins beau physiquement pour être plus réaliste. Restait le photographe qui était le seul personnage développé dans cette saison 2 prêt à faire un massacre dans le lycée rappelant les tueries aux Etats unis. Mais là aussi la série ne va pas jusqu’au bout puisque l’élève renonce. On parle de violence, d’agression mais la série évite beaucoup de choses ou de les démontrer. La seule scène violente reste le viol du photographe avec un balaie et cela arrive dans les deux derniers épisodes. La saison 1 avait aussi ce défaut, seul les deux scènes de viols restaient en tête après le restent ce n’était pas si violent que cela. Beaucoup d’autre long métrage allaient plus loin que 13 reasons Why, si on évoque le sujet du suicide, des agressions, de la violence au sein d’un établissement scolaire, il faut être un peu moins « bisounours ». La série Skins est de bien meilleur facture. Mais je salut tout de même la série d’évoquer le sujet, le mal être adolescent est toujours d’actualité et n’est jamais tellement évoqué. Une saison 3 ? Pourquoi en faire une 3 ème alors que la 2 ème ne fait avancer personne. Oui certains personnages ont parlé mais pas de quoi faire une saison alors en refaire une 3 ème c’est juste pour tirer sur la corde. En résumé 13 Reason Why saison 2 nous racontent ce qu’on savait déjà dans la première saison. Le procès aurait pu être intéressant mais est-il hors sujet, encore une fois c’est le violeur qui faut attaquer. Reste le rythme toujours accrocheur mais on ne comprend plus pourquoi on continue cette série qui aurait dû s’arrêter à la première saison. Article : Gautier
Mon avis sur The RAIN
31/5/2018
Six ans après l'apparition d'un virus mortel ayant éliminé plus de la moitié de la population, un frère et une sœur partent à la recherche d'un abri dans un monde devenu périlleux. Netflix décide de mettre les grands moyens en investissant dans une série qui pourra concurrencer the Walking Dead. Sauf que malheureusement, la mayonnaise ne prend pas. On est dans un scénario d’une débilité affligeante. Chaque réaction des personnages font le contraire du bon sens. Dès le premier épisode, on se demande si cette pluie n’affecte pas le cerveau et les aptitudes intellectuelles de nos héros. De gros soucis scénaristiques L’histoire commence avec le patriarche voulant à tout prix mettre à l’abri sa famille. La petite famille s’affole car le père sait ce qu’il va se passer et cette dernière se pose beaucoup de questions. Jusque-là, cela parait cohérent. Son imbécile de fils décide de faire un petit caca nerveux en ne voulant pas mettre sa ceinture de sécurité mettant en péril la concentration du papa sur l’autoroute. Vu la panique qui règne dans la voiture, tout enfant aurait réagi différemment en étant attentif, apeuré et raisonné mais là visiblement non. Mais ce n’est pas fini, car lorsque le papa met à l’abri toute sa famille, il décide de repartir surement pour trouver une solution. On sait dès le début que le gars est responsable de ce qui se passe dehors. Il décide de partir en indiquant à sa fille que son frère est la clé (on est pas du tout dans le cliché…). A partir de ce moment-là, il n’y a même plus de révélation de la provenance du virus. Bref, Papa est parti reste la mère et ses deux gamins débiles dans le Bunker. Quelques minutes plus tard quelqu’un tape à la porte du Bunker, les enfants croient que c’est leur papounet, alors que celui-ci sait comment ouvrir le Bunker, il n’y aurait donc aucune raison pour lui de frapper à la porte. Mais comme vous le savez déjà, les gamins sont des génies, ils décident d’aller ouvrir le Bunker (nous sommes seulement à 20 minutes de la série ;)). Les enfants découvrent que ce n’est pas leur papa, mais un inconnu gesticulant comme un zombi à cause de la pluie. Leur maman se sacrifie pour que les enfants ne soient pas attaqués et leur maman décède. On pourrait être triste mais devant tellement de débilité, on passe assez vite sur le sujet. 6 ans plus tard et malheureusement la maturité des enfants ou des ados n’a pas évolué. Delà on enchaine les épisodes clichés au possible, il découvre une maison avec des gens habillés bizarrement et de la même façon. Le petit groupe, puisque les ados se sont fait des amis entre temps, font confiance aux gens bizarres. Bien évidemment que cela va tourner au vinaigre et que c’est une secte qui cache quelque chose de pas nette. Pourtant les personnages devraient le comprendre dès le début, malgré leurs questions étonnamment pertinentes. Le chef de la secte évite à la perfection de répondre aux questions. Tous ceux qui sont habitués au genre, comme 28 jours plus tard, la route, the Walking Dead, la 5ème vagues, bref le style post apocalypse, savent que ce n’est pas un endroit où il fera bon vivre. Et c’est là que la série nous perd, même si elle utilise les codes, la réaction des personnages n’est pas crédible ou alors il est très difficile de s’identifier devant tant de bêtises. On est presque devant un scénario digne de Prometheus. On continue dans les clichés avec un des personnages qui se fait prendre par les militaires où l’on nous fait croire qu’il va se faire tuer mais on ne le voit pas à l’écran. Il est évident que l’on va le retrouver plus tard. Il y a aussi le frère du personnage principal qui est la fameuse « clé » pour résoudre l’épidémie. Il est évident qu’il va contaminer d’autres personnes. Le père avait donné le virus à son fils pour qu’il guérisse d’une maladie rare d’où l’épidémie actuelle. Peut être que le papa aurait dû en avertir sa famille que ce garçon était contagieux ? Mais comme les chiens ne font pas des chats cela reste cohérent, non ? De plus en parlant du père on le revoit dans les deux derniers épisodes où celui-ci insiste sur le fait que c’était une erreur de venir, mais ce n’est pas pour autant qu’il va aider ses enfants à s’enfuir, génie puissance 1000. Vous aurez compris ce n’est pas forcément le rythme, la réalisation ou la photographie qui pose problème mais bien son histoire. Au point de vraiment être énervant tellement les personnages ont des réactions ou des prises de décisions qui sont à l’inverse de ce qu’une personne normal ferait. Des acteurs sans charisme Il est vrai que le scénario n’aide pas, mais on ne sent pas non plus les acteurs impliqués. Très difficile d’y croire totalement. Leurs jeux est d’un vide abyssal digne des téléfilms le dimanche après-midi. En résumé J’ai essayé de trouver des points positifs, mais mise à part la photo et la réalisation sans que ce soit foufou, il n’y pas grand-chose. Le scénario de tiens pas la route, les acteurs sont nul, très difficile de s’impliquer. On espère juste ne pas avoir de saison 2, mais elle est tout de même commandée par Netflix… Article : Gautier
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